Stage de fin d’étude en Supply Chain Management : Interview de Fantin Richard

Mon stage de fin d’étude en Supply Chain Management

Nos sta­giaires sont des col­la­bo­ra­teurs à part entière chez ALOER : le temps des stages « pho­to­co­pieuse » ou « machine à café » a vécu !

Effec­tuer un stage de fin d’étude en Sup­ply Chain Mana­ge­ment au sein de nos équipes, c’est aus­si démon­trer la volon­té de s’in­té­grer dans l’environnement par­ti­cu­lier des socié­tés de ser­vices à taille humaine et de ses « per­son­na­li­tés à caractère ».

Si les diplô­més sont de mieux en mieux for­més aux com­pé­tences spé­ci­fiques deman­dées par les entre­prises et mieux pré­pa­rés à inté­grer le monde du tra­vail, les stages de fin de cur­sus peuvent être déter­mi­nants pour le début d’une car­rière. Nous espé­rons y contri­buer quelque peu.

Interview de Fantin Richard Fantin Richard, stagiaire chez ALOER Consultants 2017

Etienne Georges – Gérant ALOER : Pourquoi avoir choisi ALOER ?

Fan­tin Richard :  J’ai rejoint la socié­té ALOER pour effec­tuer mon stage de fin d’étude de Mas­ter 2 à l’ESCE Inter­na­tio­nal Busi­ness School en Sup­ply Chain Mana­ge­ment. J’ai sou­hai­té par­ti­ci­per à l’aventure de la socié­té après un excellent contact avec les équipes lors de l’entretien puis de l’étude de cas qui m’a été sou­mise. J’y ai vu l’opportunité de béné­fi­cier de l’expérience métier des consul­tants pour appro­fon­dir et com­plé­ter mes connais­sances théo­riques en Sup­ply Chain. La pos­si­bi­li­té de par­ti­ci­per plei­ne­ment à la vie d’entreprise d’une socié­té à taille humaine m’a éga­le­ment ras­su­ré. Les expé­riences et com­pé­tences diverses des consul­tants m’ont per­mis de mieux com­prendre le tis­su éco­no­mique fran­çais des PME, l’univers des logi­ciels ERP et APS ain­si que les contraintes et enjeux de la Sup­ply Chain dans les entreprises.

Etienne Georges : En plus d’une équipe de consul­tants expé­ri­men­tés, nous fai­sons le choix chez ALOER de prendre aus­si des jeunes en stages. Cela nous per­met de jouer plei­ne­ment notre rôle d’organisme de for­ma­tion et de dif­fu­ser nos com­pé­tences concer­nant nos sec­teurs d’activités. Cette appli­ca­tion de nos méthodes en interne nous per­met de les vali­der avant dif­fu­sion chez nos clients.

Chris­tine Ingles­si : Le pôle For­ma­tion ALOER adresse tout autant nos clients, nos col­la­bo­ra­teurs que nos par­te­naires. Tous nos consul­tants sont encou­ra­gés dans leurs com­pé­tences par la pro­po­si­tion de for­ma­tions régu­lières : du CPIM en pas­sant par le DDMRP ou encore les mises à niveau tech­niques sur les logi­ciels que nous déployons. Centre de com­pé­tence en Sup­ply Chain Plan­ning, les édi­teurs dont nous inté­grons les solu­tions nous sol­li­citent pour for­mer en France et à l’étranger leurs futurs par­te­naires inté­gra­teurs. Et enfin, nous déli­vrons pour nos clients des for­ma­tions en SCM – Sup­ply Chain Mana­ge­ment, Lean Manu­fac­tu­ring, Ges­tion de pro­jet ain­si qu’en Exper­tise SI. Bien enten­du, nous sommes d’ores et déjà enre­gis­trés sur Data­Dock et notre cata­logue de for­ma­tions est dis­po­nible.

Ce pôle For­ma­tion est éga­le­ment un atout pour nos sta­giaires ! 

Bénédicte Krebs, Senior Manager Supply Chain : Quel a été l’objet de ton stage de fin d’étude en Supply Chain Management ?

Fan­tin Richard : Pen­dant une période de 6 mois, j’ai inté­gré l’équipe pro­jet char­gée de l’amélioration conti­nue des pro­ces­sus internes de la socié­té, com­pre­nant notam­ment le déve­lop­pe­ment du sys­tème docu­men­taire et de mana­ge­ment de l’entreprise.

Plus par­ti­cu­liè­re­ment, j’ai par­ti­ci­pé au chan­tier «  restruc­tu­ra­tion et amé­lio­ra­tion » de la métho­do­lo­gie d’audit Sup­ply Chain exis­tante. L’objectif étant de stan­dar­di­ser et d’optimiser la col­lecte d’informations chez les clients audi­tés pour aug­men­ter la per­ti­nence, la rapi­di­té et la per­son­na­li­sa­tion des recom­man­da­tions déli­vrées en fin de mis­sion. ALOER est spé­cia­liste en Sup­ply Chain glo­bale (voir visuel ci-des­sous) et pos­sède un domaine d’expertise poin­tu en Sup­ply Chain plan­ning. Il est donc évident que la plu­part de ses mis­sions  de conseil se concentrent sur ce périmètre.

Schema des Flux Supply Chain

Béné­dicte Krebs, Jean-Benoît Sarrazin :

La revue de la méthode d’audit de la Sup­ply Chain a per­mis des gains à plu­sieurs niveaux :

  • le réfé­ren­tiel com­mun per­met aux consul­tants des échanges faciles entre dif­fé­rents diagnostics
  • ce même réfé­ren­tiel per­met de clas­si­fier les clients vis-à-vis de la matu­ri­té de leur Sup­ply Chain et de dres­ser ain­si une échelle direc­te­ment en lien avec les actions ou les efforts à mener pour atteindre un niveau d’excellence
  • enfin, la refonte de la méthode exis­tante a été menée dans un esprit « gagnant-gagnant ». Ain­si, le client tire aus­si pro­fit de cette méthode : un audit rapide, un posi­tion­ne­ment mar­ché et un plan d’actions qui découle direc­te­ment des grilles d’audit facile à mener et à suivre.

Jean-Benoît Sarrazin, Senior Consultant et maître de stage : Et plus précisément, sur quels éléments as-tu porté le plus d’attention ?

Fan­tin Richard : Vous connais­sez sans doute cer­tains grands réfé­ren­tiels d’évaluation de la Sup­ply Chain tels que le modèle SCOR, l’EVALOG pour le sec­teur auto­mo­bile, ou encore le réfé­ren­tiel de l’ASLOG. Ils per­mettent de mesu­rer, plus ou moins en détails selon les modèles, la per­for­mance de la chaine d’approvisionnement des entreprises. 

Ces modèles sont lar­ge­ment recon­nus mais s’adaptent mal aux socié­tés de conseil, qui de par leur posi­tion d’auditeur externe, cherchent davan­tage à éva­luer et à repé­rer les points défaillants de la Sup­ply Chain des entre­prises audi­tées. En effet, les consul­tants doivent à la fois com­prendre l’environnement et le fonc­tion­ne­ment de la Sup­ply Chain de la socié­té du client afin d’évaluer sa per­for­mance et géné­rer des axes d’améliorations. Ces grands modèles ont néan­moins appor­té des élé­ments cru­ciaux pour construire la métho­do­lo­gie ALOER.

Béné­dicte Krebs : Les réfé­ren­tiels étu­diés par Fan­tin lors de la revue de notre métho­do­lo­gie ont per­mis la construc­tion à notre mesure de grilles d’audits. Celles-ci mélangent dif­fé­rents aspects à auditer :

  • les exi­gences de base à trou­ver dans toute entre­prise ayant entre­pris la construc­tion de sa Sup­ply Chain y sont bien sûr pré­pon­dé­rantes et direc­te­ment issues des réfé­ren­tiels standards
  • des exi­gences spé­ci­fiques au client audi­té : exi­gences liées au sys­tème d’information (uni­ci­té de la don­née, ges­tion des bases de don­nées, inter­faces,…), aux réfé­ren­tiels métiers (Aéro, Auto, Phar­ma, Dis­tri­bu­tion, …), la culture de l’entreprise (de la PME au grand groupe, les entre­prises ISO et struc­tu­rées en pro­ces­sus,..) ayant des impacts sur les tâches et les missions
  • des élé­ments mar­ché et des élé­ments RH issus de nos expé­riences propres

La métho­do­lo­gie ain­si revue per­met aux consul­tants de dis­po­ser d’un outil « mai­son » très pro­fes­sion­nel et adap­té à tout type de client.

De quelle façon a‑t-on accompagné notre stagiaire en Supply Chain Management ?

Jean-Benoît Sar­ra­zin : Tout au long de sa mis­sion, Fan­tin a été accom­pa­gné par la direc­tion ALOER et les consul­tants afin de construire une métho­do­lo­gie s’appuyant sur les stan­dards, tout en inté­grant les besoins spé­ci­fiques de notre acti­vi­té et notre domaine de compétences.

Par exemple, Fan­tin nous a sui­vi lors d’interventions chez cer­tains de nos clients pour s’imprégner de leur envi­ron­ne­ment indus­triel et com­prendre leurs pro­blé­ma­tiques et besoins. Il a ain­si pu entre­voir le tra­vail des consul­tants et appro­cher leur manière d’aborder les audits Sup­ply Chain.

Bénédicte Krebs : Dis-nous en un peu plus sur la méthodologie d’ALOER ?

Fan­tin Richard : On retrouve 4 élé­ments clefs dans une métho­do­lo­gie : des pro­ces­sus, des outils, des livrables et des rôles par­ta­gés (Zell­ner et al, 2011).

La réflexion menée sur la métho­do­lo­gie s’axe sur la par­tie de diag­nos­tic client et de compte ren­du qui consti­tuent les outils et une par­tie des livrables iden­ti­fiés par Zell­ner et al (2011). De plus, la pro­cé­dure d’utilisation de la méthode défi­nit les rôles de dif­fé­rents par­ti­ci­pants à la mis­sion d’audit Sup­ply Chain. Les autres pro­ces­sus men­tion­nés par Zell­ner et al (2011) s’intègrent éga­le­ment dans le sys­tème de mana­ge­ment ALOER, ain­si que dans les docu­ments associés.

Béné­dicte Krebs : Nous avons veillé avec Fan­tin à ce que son tra­vail puisse direc­te­ment s’intégrer à notre sys­tème en place. Ce der­nier est basé sur une ges­tion en pro­ces­sus de type ISO9001. La métho­do­lo­gie d’audit, les livrables asso­ciés sont donc des parts entières du pro­ces­sus « réa­li­ser » qui regroupe les pro­cé­dures, pro­ces­sus et tem­plates régis­sant l’ensemble de nos prestations :

  • inté­gra­tion de sys­tèmes d’information
  • for­ma­tions en Sup­ply Chain, Lean, Pro­jet, exper­tise sur quelques briques appli­ca­tives, change management
  • AMOA (assis­tance à mai­trise d’ouvrage) sur tout pro­jet de trans­for­ma­tion, conduite du changement
  • conseil en Sup­ply Chain

Le tra­vail de Fan­tin effec­tué dans le cadre de son stage de fin d’étude en Sup­ply Chain Mana­ge­ment sera donc immé­dia­te­ment uti­li­sable dans nos pro­chaines mis­sions de conseil en Sup­ply Chain.

Fan­tin Richard : Les­car­beau et al. (1996) défi­nit le pro­ces­sus d’un audit selon le modèle ci-des­sous. Chez ALOER, les mis­sions d’audit Sup­ply Chain sont concen­trées sur les 4 étapes iden­ti­fiées en rouge. La suite des étapes étant réa­li­sée lors de mis­sions d’accompagnement et de la mise en place des pré­co­ni­sa­tions de l’audit.

Processus d'un audit - Lescarbeau et al. 1996

Jean-Benoît Sarrazin : Quel sera le futur des outils de cette méthodologie ?

Fan­tin Richard : Le tra­vail réa­li­sé a dès le départ pris en compte que ce pro­jet serait ame­né à évo­luer dans le temps et que la métho­do­lo­gie serait inté­grée au sys­tème de mana­ge­ment d’ALOER. Étant don­né que la socié­té ALOER est éga­le­ment inté­gra­teur de solu­tions logi­cielles, les com­pé­tences infor­ma­tiques de la socié­té pour­raient être mises à contri­bu­tion pour créer un outil d’analyse auto­ma­ti­sé. Dans tous les cas, ALOER dis­pose désor­mais d’un outil ergo­no­mique qui pour­ra être auto­ma­ti­sé dans le futur.

Jean-Benoît Sar­ra­zin : L’outil métho­do­lo­gique construit par Fan­tin est un excellent point de départ pour faci­li­ter la réa­li­sa­tion des audits Sup­ply Chain.

Cet outil évo­lue­ra dans le temps sous 2 angles :

  • la finesse et l’exhaustivité des élé­ments le constituant
  • l’industrialisation de l’outil : mul­ti-uti­li­sa­teurs, ergo­no­mie, archi­tec­ture Web…

Compte tenu des résul­tats déjà obte­nus, les équipes ALOER sont moti­vées pour faire évo­luer l’outil créé par Fan­tin pour le rendre tou­jours plus efficace.

Étienne Georges : Quels sont les apports de la mission pour les clients et pour ALOER ?

Fan­tin Richard : D’après mon expé­rience de la socié­té, ALOER est à l’écoute des besoins de ses clients et s’adapte aisé­ment à toutes les situa­tions. Les pro­po­si­tions faites aux clients sont réa­listes, hon­nêtes et en adé­qua­tion avec leurs besoins. Cette inté­gri­té est une des valeurs de la socié­té. Du fait de leur per­ti­nence, les recom­man­da­tions pro­po­sées en fin de mis­sion d’audit sont très sou­vent sui­vies d’un accom­pa­gne­ment dans le temps. Cela per­met à chaque client d’avoir un sou­tien régu­lier pour amé­lio­rer la per­for­mance de sa chaine d’approvisionnement.

Les consul­tants, super­vi­sés par un chef de pro­jet dédié, sont très réac­tifs pour répondre aux besoins du client. Une carac­té­ris­tique qui porte ses fruits et sou­tient la crois­sance de l’activité. De plus, les consul­tants senior et junior forment des équipes com­plé­men­taires. La poly­va­lence de cha­cun per­met la meilleure ges­tion de ces missions.

La métho­do­lo­gie vient sup­por­ter les consul­tants et la socié­té pour ser­vir au mieux ses clients.

Béné­dicte Krebs : Fan­tin a appor­té à ALOER un regard exté­rieur cri­tique, jeune et dyna­mique aux méthodes en place. Ce qui nous a per­mis la construc­tion conjointe d’un réfé­ren­tiel adap­té aux besoins des res­pon­sables Sup­ply Chain d’aujourd’hui : rapi­di­té, effi­ca­ci­té, com­pré­hen­sion aisée pour un par­tage rapide des résul­tats d’audit sous forme de gra­phiques, de courtes syn­thèses asso­ciées à des plans d’actions simples. À nous main­te­nant d’aller jus­qu’au bout de la réflexion pour dis­po­ser d’un véri­table outil collaboratif.

Étienne Georges : Que t’a apporté cette expérience chez ALOER ?

Fan­tin Richard : J’ai déve­lop­pé des com­pé­tences de ges­tion de pro­jets et de plan­ning, de ges­tion du temps en entre­prise et de prio­ri­sa­tion des tâches. J’ai éga­le­ment déve­lop­pé des connais­sances poin­tues en Sup­ply Chain, domaine d’expertise majeur de la socié­té. L’occasion s’est pré­sen­tée de suivre les avan­ce­ments de pro­jets longs, d’implantation d’outils infor­ma­tiques de type APS pour des entre­prises lea­ders de leur mar­ché. J’ai décou­vert le concept de Lean office appli­qué chez ALOER qui struc­ture de façon uni­forme les dos­siers du sys­tème infor­ma­tique interne. Je suis heu­reux d’avoir pu béné­fi­cier d’une for­ma­tion glo­bale et d’un accom­pa­gne­ment tout au long de ma mission.

De plus, la vie d’une entre­prise de taille humaine per­met de tou­cher à un cer­tain nombre de pro­blé­ma­tiques depuis la direc­tion géné­rale jusqu’à la confi­gu­ra­tion infor­ma­tique en pas­sant par le ser­vice mar­ke­ting et com­mer­cial. Ce fut très enri­chis­sant et je remer­cie toutes les équipes pour cette expé­rience qui me per­met­tra de débu­ter ma car­rière pro­fes­sion­nelle avec une com­pré­hen­sion affi­née de l’entreprise, de son fonc­tion­ne­ment et de l’impact de la ges­tion de la chaine d’approvisionnement sur l’entreprise.

Jean-Benoît Sar­ra­zin : Fan­tin a inté­gré très rapi­de­ment l’environnement par­ti­cu­lier d’ALOER propre aux socié­tés de ser­vices à taille humaine : tou­jours en mou­ve­ment, avec une entraide et un sup­port per­ma­nents entre les col­la­bo­ra­teurs. Il a su rele­ver les défis de sa mis­sion avec entrain et sérieux, et ce même lorsque ceux-ci n’étaient pas en lien direct avec sa for­ma­tion ou son expé­rience pro­fes­sion­nelle. Ce fut un réel plai­sir de tra­vailler avec Fan­tin, à la fois enri­chis­sante pour lui (nous l’espérons !) et pour nous, et ce bien au-delà du sujet de la mission.

Christine Inglessi – Responsable Marketing & Ventes : D’un point de vue plus personnel, quelles expériences t’ont permis de t’intégrer si rapidement aux équipes ALOER ?

Fan­tin Richard : Tout d’abord, j’ai énor­mé­ment appré­cié d’avoir été inté­gré comme un sala­rié opé­ra­tion­nel à part entière. Les équipes bien­veillantes ont for­te­ment par­ti­ci­pé à cette inté­gra­tion rapide et je leur en suis reconnaissant.

Au cours de mes der­nières années d’études j’ai déve­lop­pé de mul­tiples com­pé­tences qui font que cette inté­gra­tion a été com­plète. Ori­gi­naire de Lyon, j’ai été jusqu’en Anda­lou­sie et Galice puis Not­tin­gham, Angle­terre et Paris au cours de ces trois der­nières années. En chan­geant d’environnement tous les six mois, j’ai déve­lop­pé une capa­ci­té d’intégration rapide pour palier à la frus­tra­tion de n’avoir qu’une période courte à vivre à cha­cun de ces endroits. La diver­si­té de ces expé­riences : pro­gramme Eras­mus, stage à l’étranger, Bache­lor à l’université anglaise, a ren­for­cé ma curio­si­té natu­relle, mon enthou­siasme et mon apti­tude à tis­ser des liens avec les per­sonnes qui m’entourent.

Enfin, fervent pra­ti­quant de sport de mon­tagne, je suis entrai­né aux efforts et aux modi­fi­ca­tions de mes capa­ci­tés en alti­tude. La pré­pa­ra­tion et l’engagement néces­saires liés à cette pra­tique spor­tive ont tou­jours ren­for­cée ma déter­mi­na­tion à géné­rer et à sai­sir les oppor­tu­ni­tés, peu importe les difficultés.

Réfé­rences

Les­car­beau et al., (1996). Pro­fes­sion Consul­tant. Presses uni­ver­si­taires de Mont­réal.

Zell­ner et al., (2011). A struc­tu­red eva­lua­tion of busi­ness pro­cess impro­ve­ment approaches. Busi­ness Pro­cess Mana­ge­ment Jour­nal, 17(2), 203–237.