Supply Chain Planning : 5 Étapes et un JOKER pour choisir son Logiciel APS

Choi­sir son logi­ciel Sup­ply Chain Plan­ning APS, qu’il s’a­gisse de pré­vi­sions, S&OP, pla­ni­fi­ca­tion ou d’or­don­nan­ce­ment  et faire le bon choix n’est pas impos­sible. Mais une réflexion s’impose.

En évi­tant la « crise de foie », réflé­chis­sons ensemble à une démarche pour ne pas se tromper.

Comment choisir son logiciel de planification APS ?

Tout d’abord, rap­pe­lons ce qui consti­tue un bon pro­jet d’implémentation de logi­ciel, Sup­ply Chain ou autre.

Quelle est la composition d’un projet ?

• 30% d’outil. Sans outil pas de pro­jet, jusque-là tout va bien.
• 30% d’intégrateur. La socié­té qui fera l’implémentation doit connaitre votre métier, savoir gérer des pro­jets selon la taille de votre entre­prise, et bien enten­du maî­tri­ser l’outil implémenté.
• 30% de client, c’est-à-dire vous. N’allez pas ima­gi­ner qu’un pro­jet puisse bien se dérou­ler si votre entre­prise ne s’y implique pas. Cela veut dire que la direc­tion doit « spon­so­ri­ser » ce pro­jet, que vous ayez les moyens humains et finan­ciers pour le mener à bien, et que l’équipe pro­jet soit impliquée.
• Les 10% qui res­tent ? La chance (ou la mal­chance). Plus un pro­jet est long et plus les aléas seront nom­breux. Il fau­dra donc com­po­ser. La ges­tion de pro­jet prend dans ces situa­tions tout son sens, pour anti­ci­per, aler­ter, réor­ga­ni­ser et… avoir de la chance.

Quelles sont les étapes pour choisir son Logiciel Supply Chain Planning APS ?

On note d’ailleurs que l’on parle constam­ment de choi­sir un outil,… qui ne repré­sente encore une fois que 30% du projet :

• Consul­ta­tion des four­nis­seurs autour d’un lis­ting de fonc­tion­na­li­tés (issues d’un cahier des charges)
• Pré­sen­ta­tion de l’outil sou­vent sur ½ jour­née à l’équipe projet
• Sélec­tion finale et négo­cia­tion budgétaire

Ce nou­veau livre blanc – Sup­ply Chain Plan­ning – 5 Étapes et un JOKER pour choi­sir son Logi­ciel pro­pose d’analyser le pro­ces­sus de sélec­tion d’outil informatique.

Il com­porte bien enten­du les étapes habi­tuelles, avec quelques élé­ments « sucrés » ou « piquants » et… un Joker.